Hier, nous avons vu un aspect de la grâce qui est offerte aux humains. C’est en effet un don que Le Seigneur nous fait de nous offrir le salut par Son Fils, nous affranchissant de nos fautes et erreurs.

Mais si nous avons vu que Dieu nous a fait grâce et nous a pardonné nos fautes, nous également devons pouvoir aussi d’une certaine manière Lui exprimer notre gratitude et notre reconnaissance.

De nos jours, parler de Dieu en public est de plus en plus difficile. J’écoutais récemment des échanges au sujet des croyances religieuses et de ce discours, était mis en avant le fait que notre société aujourd’hui se voulait laïque et dépourvu de toute information à caractère religieux ou d’expression de croyance en Dieu.

Les temps qui arrivent seront de plus en plus difficiles pour les croyants de faire ressortir ou d’exprimer leur foi. Mais nous l’avons vu hier également que c’est par le moyen de notre foi que nous serons sauvés.

Je repense à cette situation pour laquelle, dans mon activité professionnelle, j’ai été confronté à mon manager ne partageant pas son opinion quant à son attitude vis-à-vis d’un postulant faisant part de sa foi en Jésus.

M’étant en avant que nous soyons dans une société et une entreprise laïque, que ce jeune homme ne devait pas parler de sa croyance.

J’ai pour ma part indiqué ma désapprobation par rapport au discours se voulant respectueux de la laïcité, mais qui ne l’était pas vis-à-vis du futur collègue.

Je pense sincèrement que la laïcité, est une bonne chose pour une entente dans la société, mais qu’elle ne peut être efficace que si nous arrivons à tant respecter l’opinion du laïc que du croyant. La frontière, à mon sens, entre les deux ne tient que dans le fait que l’un ou l’autre cherche à faire de la propagande et des adeptes.

Je le redis, je pense que notre société, malheureusement sous couvert de laïcité, interdit à toute personne de partager sa foi ou ses opinions qui ne serait en accords avec la pensée collégiale.

Hier, je regardais cette jeune Guyanaise, Gemima Joseph, qui a réalisé les minima pour participer aux Jeux Olympique de Paris cette année.

Sur la chaine publique, qui est et qui prône la laïcité, cette jeune athlète devant l’engouement de la presse pour son exploit, indiquait ceci :

Ma réussite, cette performance, je la dois au Seigneur Jésus

Si elle l’a indiqué clairement, sa reconnaissance à Jésus, la presse, tant locale que nationale, s’est contentée de parler de sa performance et pas de Celui qui l’avait permis de la réaliser.

Voilà ce que nous enseignent les écritures sur ce sujet :

Gemima a laissé le soin au média de ne pas diffuser sa croyance et la grâce qu’elle rendait au Père par Jésus, mais le direct ne leur a pas permis de couper son témoignage.

À la fin de sa seconde qualification sur 200 mètres cette fois-ci, sur les antennes de la chaine publique Guyane 1ère, elle dit encore ces paroles :

C’est encore une grâce que je rends à Dieu 

Ce témoignage rendu au Seigneur Jésus m’amène à reconsidérer moi-même ma foi et ma confiance en mon Seigneur Jésus.

Mais cela m’amène également à prendre davantage confiance en moi, en m’appuyant sur les paroles de l’apôtre :

Cette expérience de l’athlète, de son père et de son entraineur, fait ressortir la foi et la mise en pratique de notre confiance en notre Seigneur Jésus. Cela me fait également penser à cette séquence du film War Room, dans laquelle faisant le récit aux policiers venant l’interroger de bien noter que ce qu’elle a fait, c’est au nom de Jésus.

Cette femme de prière a mis en application sa foi et sa croyance en Jésus, refusant de se soumettre à la volonté de ces jeunes qui voulaient lui prendre son sac.