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Ce qui est juste

Dans notre société actuelle, on a perdu certaines valeurs morales essentielles à la vie en communauté. Auparavant, il y avait un respect de la vie de l’autre, un respect des personnes âgées et même du voisin.

Notre vie ne se focalisait pas uniquement sur notre personne, mais on avait une vision une attention pour la vie de l’autre et aussi des conséquences de nos actions sur leur quotidien.

On peut aisément se poser la question aujourd’hui : 

Qu’est-ce qui est juste ou pas aujourd’hui ?

Pas évident de répondre à cette question, car les lois changent constamment et la morale aussi. La justice appliquée ne bénéficie plus aux opprimés, mais au plus riches.

Au-delà de cela, nous avons changé notre façon de percevoir ce qui est juste ou pas et nous définissons des agressions comme étant des actes de justice, les voyants parfois même comme étant sentence divine.

Il convient donc pour nous avant d’aller plus loin l’opprimé comme étant : 

Une personne accablée par une autorité excessive et souvent injuste ou qui est persécutée par des moyens violents.

Ce qui est juste, n’est pas forcément donc lié à ce que la justice déclare comme étant juste, car bien souvent, c’est l’éloquence des avocats qui souvent définissent la décision du ou des juges.

Nous savons cependant, que notre Dieu est au-dessus des lois humaines et c’est auprès de Lui seul que nous pouvons être déclaré juste ou coupable.

Dans le livre d’Ésaïe 1.17, Il dit :

Apprenez à faire le bien ; 

recherchez le droit, protégez l’opprimé ;

rendez justice à l’orphelin, défendez la veuve.

Qui alors protéger, qui défendre ?

En nous basant sur ce texte, l’Éternel nous demande de prêter une attention particulière aux plus faibles de manière générale.

Certains d’entre nous jugent normales des décisions de justice qui accablent, qui oppriment les plus faibles, mais là, Le Tout-Puissant, Le Juste Juge, nous donne une vision de Sa justice qui est bien éloignée de celle des hommes.

Penons en conséquence le parti, de soumettre notre appréciation, notre jugement et la culpabilité de l’autre, au regard du Créateur.

Ayons une attention particulière pour l’autre, le plus faible, ceux qui sont en marge de la société et qui sont opprimés par les dirigeants ou les plus fort, les plus nombreux.

Privilégions l’Amour pour notre prochain avant tout, ainsi nous seront bien plus proches de la vision divine que de la vision des hommes.

Ésaïe 1.17