Cette expression a récemment été utilisé par le président.

Pour certain, son utilisation est perçue comme étant la  volonté à tout pris de réussir un projet, une activité, d’atteindre un objectif.

Pour d’autre, elle est perçue comme une marque d’autorité, quelle que puisse être les oppositions, quel que soit le prix à payer.

Dans ce texte de Daniel 3, il est fait mention d’un roi ayant la même démarche que notre président.

Ce roi cependant, s’est retrouvé face à des jeunes qui, eux aussi, avait fait de cette expression, leur crédo, la base de leur foi.

Quel est la base de notre foi en cette période ?

Ces jeunes déportés expatriés, avaient une foi qu’on dira aguerrie à cette épreuve.

Ils dirent ainsi au roi :

Celui que nous servons, est capable de nous délivrer de ton pouvoir, de ton autorité.

Et Il nous délivrera, notre Roi.

Qui peut lutter contre notre Dieu ?

Avons-nous conscience de l’importance d’avoir une foi ferme et une confiance à toute épreuve en Lui ?

La suite du récit nous montre que ces jeunes qui sont éloignés de leurs parents ont gardé solidement leurs croyances en leur Dieu, en leur Roi, en ne se soumettant pas au roi.

Qui pour nous délivrer ?

Je ne cesserai de le dire et de le répéter :

« Notre Dieu n’est pas insensible à nos souffrances, détresses et persécutions ».

Tout comme il a délivré Chadrac, Méchac et Abed-Négo qui ont eu confiance en Lui, Il nous délivrera de nos oppresseurs.

Prenons donc courage, ne renonçons pas à notre Dieu, lorsque l’épreuve est difficile.

Quand nous sommes harcelés de tout côté, reposons-nous fermement sur cette foi qui nous uni à notre Dieu, notre Roi, Le Messie qui a reçu toutes autorités, sur tous les royaumes.

Qui craindre alors ?