Voilà une pratique qui est courante chez l’être humain : Se plaindre.

Au-delà de se plaindre, c’est dire du mal de l’autre qui est commun.

Dans ma journée d’hier, l’Éternel m’a montré qu’il valait mieux faire silence que de dire du mal de l’autre.

En effet, lors d’une de mais réunion de travail, alors qu’une discussion houleuse avait lieu, je m’apprêtais à ouvrir la bouche pour dire une parole négative contre un collègue, Il m’a fermé la bouche.

Nous en avons déjà parlé, on cherche généralement à ce que l’autre soit comme nous le voulons et quand ce n’est pas le cas, nous médisons ou accablons l’autre.

Est-ce facile ?

Est-il possible de ne pas médire ?

Pas facile en effet. Il est plus facile de dire du mal, de faire du mal à l’autre. Mais quand nous choisissons de nous laisser diriger par Dieu, Il nous fait taire.

Mon expérience d’hier a été très intéressante, puisque finalement en lieu et place de médisance, fut encouragement et soutien.

Dans le livre de Jacques 5.9, nous est dit :

Ne murmurez pas les uns contre les autres…

Dieu a fait de nous, des membres de Sa famille, une seule et même famille. Même s’il est vrai que cela ne nous empêche pas de dire du mal de notre frère, de notre sœur, ce que Lui, notre Père souhaite, c’est que nous nous acceptions et entendions.

Pourquoi donc, ne pas laissez notre nature humaine, notre bouche dire ce que nous pensons ?

C’est la deuxième partie du texte qui nous le dit :

Afin de ne pas être jugé, Le Juge est à la porte.

Pratiquer cela, ne peut se faire sans se débarrasser de notre vielle nature humaine. La critique est facile, les bontés et la bienveillance sont rares, sans l’aide du Créateur, nous ne pourrons y arriver.

Sollicitons donc l’Éternel afin qu’Il nous aide à chaque jour franchir une nouvelle étape dans notre transformation et l’abandon de notre nature charnelle attaché au mal.