Nous avons pour la plupart déjà entendu parler de présumés coupables libérés de toutes charges.

Nous retrouvons ceci fréquemment dans les milieux politiques où par leur titre et responsabilités, ils arrivent à s’en sortir grâce à leurs illustres avocats.

De même, j’ai été amené à considérer le temps avant le début d’un procès de ces hommes et le temps pour un contribuable comme vous et moi.

Quelle est donc cette justice ?

Quelle est notre positionnement face dans cette justice ?

Dans le livre des Psaumes 82, il est dit :

Qu’ils jugent injustement et prennent parti pour les méchants ?

Je me suis toujours dit que le métier d’avocat, n’est pas simple et me rends compte que celui de Juge l’ai encore beaucoup moins.

Pourquoi la justice des hommes est-elle fonctions des titres, de concours d’éloquence et de rhétorique ?

Pourquoi n’est-elle pas plutôt basé sur ce qui est vraiment juste sans ternir compte de la personnalité de l’homme ?

Il nous arrive, nous parfois en tant que spectateur ou téléspectateur à même nous retrouver emporter dans une sympathie pour ces hommes méchants.

Et ne prenons pas parti comme le dit le verset suivant pour le faible, l’orphelin, l’affligé, le pauvre, la veuve, le maltraité, le misérable.

Gardons-nous donc de prendre part à ce type de justice qui est donnée en fonction des grades et qualités des hommes plutôt que pour ceux qui en ont le plus besoin. 

Considérons la période actuelle et interrogeons-nous :

Nos actes, nos positionnements, sur une politique qui est mise en place, sont-ils réellement notre désir et sont-ils le reflet du modèle du Messie, de la justice et la volonté de Dieu ?