Il y a un jour dans l’année, que l’on tient à ne pas oublier. 

Pourtant, de ce jour, nous ne connaissons rien d’autre que ce que nos parents nous auront transmis.

Quel souvenir avons-nous de notre naissance ?

Avons-nous le souvenir de la sage-femme qui accompagnait notre mère pendant la délivrance ?

Cependant, nous prenons un plaisir chaque année à nous remémorer, la date figurant sur notre pièce d’identité. 

Certains, ont même une date sur leur pièce qui ne correspond pas au jour de délivrance.

Qui donc à connaissance de notre histoire ?

S’il est vrai que nos parents ont la connaissance, de notre vie, qu’en est-il de ce qu’ils ne voyaient pas ? 

Dans le livre des Psaumes 139, est fait mention de Celui qui nous connais avant que nous ne soyons formé.

Tes yeux me voyaient quand je n’étais qu’un embryon et sur Ton livre étaient inscrits tous les jours qui m’étaient destinés.

Et dans le Psaume 71, il dit aussi :

Sur Toi, j’ai mon appui dès le sein, Toi ma part dès les entrailles de ma mère, en Toi ma louange sans relâche.

Nombreux sommes-nous à nous réjouir, à festoyer ce jour, à passer du temps avec notre famille, pour commémorer, cette date.

Mais combien d’entre nous, mettons sur nos lèvres la louange pour Celui, qui a écrit tous les jours de notre vie et nous protège ?

Autant notre reconnaissance pour nos parents, notre mère qui nous a porté en son sein, pendant des mois, autant devons-nous reconnaître que dans l’invisible, notre Créateur, notre Dieu veillait déjà sur nous.

Prenons donc, cet engagement dès ce jour, à nous récréer avec nos proches et nos ami(e)s, mais surtout prendre un instant dans notre fête, pour élever, louer, reconnaître tout ce que notre Dieu dans l’invisible a fait, continue de faire et fera encore pour nous.