La semaine dernière avait lieu la cérémonie de clôture des Jeux Paralympiques.

Ces jeux sont une occasion pour de nombreux sportifs de montrer et démontrer et indiquer aux hommes, que les infirmités ne sont pas la fin de la vie.

Par moment, je me suis même laissé dire que les épreuves sportives pour ces athlètes sont de véritables exploits.

J’ai pu par exemple voir des archers dans l’épreuve du tir à l’arc, concourir pour la médaille en utilisant ses pieds.

Que représente donc nos handicaps ?

Une faiblesse ou une force supplémentaire ?

Le texte de Matthieu 8, nous dit :

Il a pris nos infirmités et nous décharge de nos maladies.

S’Il s’en est chargé, ce n’est plus un poids pour nous. En d’autre terme, nous n’avons plus à avoir honte de notre handicap, mais plutôt vivre avec de manière libre.

Mais qu’en est-il de nous spirituellement ?

Quel est notre handicap ?

À l’époque du  Messie, beaucoup faisait une relation entre l’infirmité, la maladie et le péché.

On pourrait être amené à nous dire que si nous sommes malade, c’est aussi, à cause de nos fautes.

Jésus en a fait la démonstration inverse, faisant répondant à ses disciples à la question : « Qui de lui ou ses parents a péché ? » (Cf. Jean 9.1-3)

Dans le verset 3 est révélé, la raison de nos infirmités, il est écrit : 

Pour que l’œuvre de Dieu puisse se manifester en lui.

De quoi parle-t-Il ?

Nous l’avons vu, les exploits des athlètes ayant un handicap, nous montre que nos infirmités et nos maladies, sont une occasion de les dépasser et montrer que c’est la force vient de l’esprit.

Ne laissons donc plus nos faiblesses nous dicter et nous empêcher de manifester l’œuvre du Créateur.

Que son Esprit-Saint soit notre moteur, notre énergie, notre force.

Que plus jamais nos infirmités qu’elles soient physiques ou morales, ne soient plus jamais un frein à la puissance de Dieu en nous.