Il m’arrive de temps à autre de regarder et d’être en admiration devant les images du télescope Hubble ou encore du plus récent James Webb. Je ne sais si comme moi, vous vous rendez compte que l’on est si peu de chose dans cette immense univers et il m’arrive de dire, nous ne sommes pas le seul monde dans cette immensité d’étoiles.

Quand je regarde, ne serait-ce que la seule galaxie à laquelle nous appartenons, il y a tant d’étoiles et potentiellement de systèmes solaires que nous ne connaissons pas, et encore plus d’autres galaxies éloignées, je m’interroge.

Comment Dieu arrive-t-Il à gérer tout cela ?

Pourquoi est-ce ce monde qui a été choisi ?

Sommes-nous réellement seul dans l’univers ?

L’homme a tout fait pour nous faire croire que nous sommes le centre du monde et que toute la création de Dieu se limite à notre planète Terre. Dans un certain point de vue, oui.

En effet, en voulant utiliser toutes ces technologies cherchant à nier l’existence de Dieu, ils n’ont fait rien d’autre que de mettre en lumière toute la sagesse de notre Dieu.

Les écrits de l’apôtre Paul dans le livre aux Éphésiens en témoigne en disant ceci : 

C’est ainsi que, maintenant, la sagesse de Dieu, infiniment diverse, est manifestée par l’Église aux dominations et aux puissances dans les lieux célestes. Éphésiens 3.10

Si ce texte de saint Paul nous confirme la grandeur de la sagesse de Dieu, il met également en lumière l’existence d’autorités et de puissances dans le monde céleste.

Qui sont-elles ?

Nous ne nous étendrons pas sur le sujet de l’existence ou non d’autres êtres dans cette étendue céleste, mais le texte de Paul, nous dit bien que l’Église est l’outil utilisé pour attester de la Sagesse et de l’Amour de Dieu par nous, les humains. Et cela est fait de sorte que Tous, je dis bien Tous, dominations et puissances célestes, mais par ailleurs, nous, humains, reconnaissions le sacrifice de grand Amour du Fils de Dieu pour l’humanité.

Je réfléchissais hier sur ma situation et mes croyances. Lors d’un échange avec un collègue se disant athée et attestant que les preuves scientifiques révélaient que Dieu n’existe pas.

Il voulait presque m’en convaincre, mais je lui ai simplement dit que chacun avait ses croyances et que moi, je respectais la foi et la croyance de tout un chacun, y compris la sienne.

Nous voulons trop souvent affirmer et imposer nos croyances aux autres. Ainsi, nous débattons en donnant des arguments, mais comme je lui disais, la foi, est une valeur qui est personnelle à chacun et que cela ne se discute pas, elle se respecte.

Peut-on croire en l’existence d’un Dieu qui laisse tant souffrir le monde ?

C’est là une question qui revient fréquemment dans ce genre de discussion et ma réflexion m’a amené à me dire que seuls nos expériences avec Dieu, peuvent attester de son existence. Si, en effet, malgré, notre attachement à Dieu, nous avons nos souffrances, nos difficultés, nos maladies, il n’empêche que c’est Lui qui nous maintient le souffle de vie.

Mais pour revenir à notre sujet, nous sommes donc des outils pour confirmer, par le moyen de l’église, l’Amour et la sagesse du Créateur malgré ses créatures qui le rejettent.

Pourquoi rejeter Dieu ?

Pourquoi rejeter, son Église, l’outil d’unité des hommes entre eux et avec Dieu ?

Regardons ce que nous dit l’apôtre Paul dans son épitre aux Corinthiens : 

Au nom du Messie, nous sommes en ambassade. Par nous, c’est Elohîms qui appelle.

Nous implorons au nom du Messie : réconciliez-vous avec Elohîms. 2 Corinthiens 5.20

Il est capital pour nous de comprendre et de reconnaitre que Dieu nous a choisi pour être Ses ouvriers, Ses outils, Ses ambassadeurs.

À tous ceux qui n’œuvrent de manière ecclésiale, il est de votre ressort par contre d’être de véritables ouvriers pour Lui, là où vous êtes. Pour rappel, un ambassadeur est un représentant officiel d’un état en permanence dans un pays étranger. Que nous soyons en conséquence avec ou sans communauté religieuse, notre responsabilité est de représenter notre appartenance à Dieu en partageant le salut à tous par Son Fils.

Éphésiens 3.10