Lean on Me

Cadeau de Dieu

On condamne bien souvent Simon Pierre pour avoir renié le Seigneur. 
Mais il nous arrive, de manière plus subtile ou insidieuse, de renier, nous aussi le Seigneur.

Quand nous nous opposons à d'autres communautés de croyant qui ne partagent pas les mêmes orientations ou pratiques religieuses que nous, quand bien même ceux-ci professent le nom du Seigneur Jésus.

Nous rendons-nous compte que les rejetant, les condamnant, nous rejetons et renions notre Seigneur Jésus ?

Nous devons faire attention à notre extrémisme.
Alors qu'un certain de croyant en notre Messie, sont sur le point de se faire tuer, l'appel mondial à la prière est lancé pour que notre Dieu puisse leur faire grâce et leur laisser la vie sauve.

Seigneur, Quel que soit le sort qui leur sera réservé, que Ta seule volonté se réalise.

Nourrir l'Esprit

Voici que je vous ai donné le pouvoir de fouler aux pieds les serpents, et les scorpions, et toute la puissance de l’ennemi ; et rien ne pourra vous nuire. Luc 10.19

J'ai bien souvent entendu des représentants religieux dire que nous ne pouvons prendre le dessus sur les situations difficiles et que nous devrions les accepter et nous y faire.

Cette manière de penser, si elle nous pousse à la résilience, n'est peut-être pas ce que Le Seigneur attend de nous. Je pense que cette méthode et modèle est plutôt tirée de fonctionnement de psychologue qui nous amène à nous recroqueviller sur nous et ne compter que sur nous-mêmes pour nous en sortir.

Cette manière de fonctionner est aussi un moyen d'abdiquer face aux difficultés de la vie, abandonner le combat et la lutte entre Dieu et les forces du mal. Mais s'il est vrai que nous devons lâcher prise, il ne s'agit aucunement de renoncer et donner à l'ennemi la victoire. Lâcher prise, j'ai pris beaucoup de temps pour le comprendre, est d'une part reconnaitre que nous avons tout essayé de notre propre force et volonté, sans aucune réussite.

Le lâcher prise, c'est deuxièmement, tout remettre entre les mains de Dieu et croire qu'Il fera ce qu'il y a de mieux pour nous.

Mais comment réagissons-nous quand l'ennemi semble gagner la bataille et nous pousse à renoncer, à abandonner ?

Depuis quelques jours, la chanson de l'artiste KS Bloom est fréquemment dans mes pensées. Le titre de la chanson est celui-ci : Satan dehors.

Ce sont les mots, dans cette histoire qu'il relate et que des hommes et des femmes religieux lui lançaient parce qu'il n'était pas comme eux auraient voulu qu'il soit.

Mais sommes-nous en mesure de traiter nos frères, les membres de notre communauté de Satan ?

Si je pense que nous n'avons pas reçu de Dieu d'autorité pour mettre hors de Sa maison, Ses enfants, je me suis toutefois interrogé sur :

Comment faire sortir l'ennemi de ma vie ?

M'est-il possible de vaincre l'ennemi ?

J'ai eu déjà l'occasion de dire que j'étais de ceux qui, face aux difficultés, aux épreuves, baissait les bras, pensant que si je n'y arrivais pas, que cela ne correspondait pas à la volonté de Dieu.

Ce n'est que récemment, après avoir persévéré dans l'épreuve, dans les difficultés et parfois même l'adversité, que j'ai appris à faire réellement confiance à Dieu. Je me dis, avec le recule, que ces situations difficiles étaient un moyen pour moi d'apprendre à affermir ma foi en Lui.

Où en est notre foi ?

Que peut faire Dieu pour nous aider à vaincre l'ennemi ?

Pouvons-nous de nous-mêmes prendre le dessus sur l'ennemi ?

La parole du Seigneur, dans le livre des Psaumes, nous dit ceci :

Tu marcheras sur le lion et la vipère, tu fouleras le lionceau et le dragon. Psaumes 91.13

Ce texte laisse apparaître deux métaphores pour parler de l'ennemi, de Satan :Le cobra et le dragon.Dans le texte de la Genèse, on parle de celui qui s'est déguisé en serpent pour séduire l'homme et la femme dans le jardin que Dieu leur avait donné. (cf. Genèse 3)L'autre concernant le dragon est clairement identifié comme étant la personne même de l'ennemi pour lequel le livre de l'apocalypse dit ceci :

Et ce grand dragon, l’ancien serpent appelé le diable et Satan, qui séduit tout l’univers, fut précipité sur la terre, et ses anges avec lui. Apocalypse 12.9

On pourrait être tenté de se dire que selon le texte du Psaume 91, nous avons les moyens d'affronter l'ennemi par nos propres forces. Mais nous devons être plus que vigilent. Dans la suite du psaume 91, il est dit :

  • Parce que tu t'es attaché à Moi (verset 14)
  • Il m'invoquera et Je lui répondrai, Je serai avec lui dans la détresse (verset 15)
  • Je lui ferai voir Mon salut (verset 16)

L'Évangéliste Luc également dit que c'est Le Seigneur qui nous donne la possibilité de marcher sur le serpent et le dragon. Ce n'est donc pas de notre propre force ou volonté que nous vaincrons l'ennemi.

Pourquoi ces religieux nous pousseraient à abandonner et donner la victoire à l'ennemi ?Pensons-nous à solliciter Jésus, notre rocher, pour vaincre l'ennemi dans nos luttes ?Sommes-nous confiants dans les promesses de notre Dieu qui combat pour nous offrir la victoire ?

Paul, dans son expérience face au serpent, nous montre que par la foi, nous pouvons vaincre l'ennemi sous toutes ses formes. Dans le livre des Actes, il est écrit ceci :

Et Paul ayant ramassé un tas de sarments et les ayant mis dans le bûcher, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main. Et quand les barbares virent la bête suspendue à sa main, ils se dirent les uns aux autres : Assurément cet homme est un meurtrier, puisqu’après qu’il a été sauvé de la mer, la justice ne permet pas qu’il vive. Mais lui, secouant la bête dans le feu, n’en souffrit aucun mal ; tandis qu’eux s’attendaient qu’il enflerait ou qu’il tomberait mort subitement. Et quand ils eurent longtemps attendu et qu’ils eurent vu qu’il ne lui arrivait rien d’extraordinaire, ils changèrent de sentiment, et dirent que c’était un dieu.  Actes 28.3-6

Paul n'était pas un dieu comme le prétendaient ces hommes, mais il savait qu'avec le feu de Dieu qui brulait en Lui, par l'Esprit-Saint qui l'animait, il était en mesure de vaincre l'ennemi par la foi.Il convient donc, pour chacun de nous, de nous en remettre au Seigneur afin qu'Il nous donne la victoire dans nos luttes, nos combats contre le serpent et le dragon.Persévérons donc dans la foi et la prière en ayant confiance en la victoire que le Tout-Puissant nous donne sur nos ennemis.

La parole du Seigneur, dans le livre des Psaumes, nous dit ceci :

Tu marcheras sur le lion et la vipère, tu fouleras le lionceau et le dragon. Psaumes 91.13

Ce texte laisse apparaître deux métaphores pour parler de l'ennemi, de Satan :

Le cobra et le dragon.

Dans le texte de la Genèse, on parle de celui qui s'est déguisé en serpent pour séduire l'homme et la femme dans le jardin que Dieu leur avait donné. (cf. Genèse 3)

L'autre concernant le dragon est clairement identifié comme étant la personne même de l'ennemi pour lequel le livre de l'apocalypse dit ceci :

Et ce grand dragon, l’ancien serpent appelé le diable et Satan, qui séduit tout l’univers, fut précipité sur la terre, et ses anges avec lui. Apocalypse 12.9

On pourrait être tenté de se dire que selon le texte du Psaume 91, nous avons les moyens d'affronter l'ennemi par nos propres forces. Mais nous devons être plus que vigilent. Dans la suite du psaume 91, il est dit :

  • Parce que tu t'es attaché à Moi (verset 14)
  • Il m'invoquera et Je lui répondrai, Je serai avec lui dans la détresse (verset 15)
  • Je lui ferai voir Mon salut (verset 16)

L'Évangéliste Luc également dit que c'est Le Seigneur qui nous donne la possibilité de marcher sur le serpent et le dragon. Ce n'est donc pas de notre propre force ou volonté que nous vaincrons l'ennemi.

Pourquoi ces religieux nous pousseraient à abandonner et donner la victoire à l'ennemi ?

Pensons-nous à solliciter Jésus, notre rocher, pour vaincre l'ennemi dans nos luttes ?

Sommes-nous confiants dans les promesses de notre Dieu qui combat pour nous offrir la victoire ?

Paul, dans son expérience face au serpent, nous montre que par la foi, nous pouvons vaincre l'ennemi sous toutes ses formes. Dans le livre des Actes, il est écrit ceci :

Et Paul ayant ramassé un tas de sarments et les ayant mis dans le bûcher, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main. Et quand les barbares virent la bête suspendue à sa main, ils se dirent les uns aux autres : Assurément cet homme est un meurtrier, puisqu’après qu’il a été sauvé de la mer, la justice ne permet pas qu’il vive. Mais lui, secouant la bête dans le feu, n’en souffrit aucun mal ; tandis qu’eux s’attendaient qu’il enflerait ou qu’il tomberait mort subitement. Et quand ils eurent longtemps attendu et qu’ils eurent vu qu’il ne lui arrivait rien d’extraordinaire, ils changèrent de sentiment, et dirent que c’était un dieu.  Actes 28.3-6

Paul n'était pas un dieu comme le prétendaient ces hommes, mais il savait qu'avec le feu de Dieu qui brulait en Lui, par l'Esprit-Saint qui l'animait, il était en mesure de vaincre l'ennemi par la foi.

Il convient donc, pour chacun de nous, de nous en remettre au Seigneur afin qu'Il nous donne la victoire dans nos luttes, nos combats contre le serpent et le dragon.

Persévérons donc dans la foi et la prière en ayant confiance en la victoire que le Tout-Puissant nous donne sur nos ennemis.

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