Comment définir la bienfaisance ?

Le dictionnaire définit la bienfaisance comme une vertu qu’à celui qui partage ses biens avec autrui ou plus généralement celui qui fait du bien à ceux qui sont dans le besoin.

Nous avons plus ou moins tous été amenés à faire des dons qu’ils soient numéraires ou matériels de ce que nous possédons.

Certain donne ce qu’ils ont et qu’ils n’utilisent plus, d’autre font don de ce qu’ils n’ont jamais utilisés.

Quel que puissent être nos œuvres de bienfaisances, il est écrit qu’elles plaisent à Dieu. 

Dans son épitre aux Hébreux 13.16, l’apôtre Paul nous dit ceci : 

Et n’oubliez pas non plus de partager et de faire du bien, car ce sont là des sacrifices qui plaisent à Dieu.

En revoyant ce passage des écritures relatif à la bienfaisance et à ce qui plait à Dieu, me vient en mémoire ces paroles du livre de Jacques 1.27.

La religion pure et sans tache devant Dieu notre Père consiste en ceci : visiter les orphelins et les veuves dans leurs épreuves, se garder de toute souillure du monde.

Comment donc pratiquons-nous la bienfaisance dans nos communautés ?

Laissons-nous simplement aux autres le soin d’être bienveillant et bienfaisant, ou y participons-nous activement ?

Nous basant sur ces deux versets, de la Parole de Dieu par la bouche de Ses serviteurs et sur la définition plutôt assez claire, cela doit être un partage de ce qui nous appartient. 

Pratiquons-nous individuellement la religion telle que le préconise Dieu ?

Il ne s’agit pas non plus de faire parce qu’il faut faire. J’aime le dire et le répéter, tout ce que nous faisons doit être une harmonie entre notre cœur, notre esprit et nos paroles.

Laissons-nous donc dirigé par l’Esprit de Dieu, ne faisons pas selon nos envies ou l’apparence de celui qui est dans le besoin.

L’Esprit de Dieu connait mieux que nous les véritables besoins de celui qui reçoit.