J’ai connu lors de mon service militaire un camarade qui ne cessait de répéter cette phrase : « On ne guérit pas d’un chagrin de cœur, mais on obtient plutôt un soulagement ».

Certain d’entre nous avons connu ces moments de « lenbé », qui parfois interviennent dès l’adolescence.

Ces chagrins même s’ils interviennent très jeune, laissent des traces dans la vie de celui qui en est la victime.

Avons-nous encore des traces dans nos cœurs ?

Sommes-nous aujourd’hui affectés par un chagrin de cœur ?

Dans le Psaume 147, il est question de Celui qui guérit les cœurs  :

« Il guérit ceux qui sont abattus et bande leurs blessures. »

S’il est vrai que la plupart du temps, nos cœurs sont brisés par les chagrins d’amour, nous pouvons avoir le cœur qui soit tourmenté par des actes que nous avons faits qui ne nous honore pas et que nous regrettons amèrement.

Quelles solutions s’offrent à nous ?

Ce verset nous montre la disponibilité de notre Dieu, de notre Seigneur, à nous guérir, une fois que nous avons confessé notre faute.

Vous remarquerez qu’il ne s’agit pas  seulement de guérison, mais aussi de plaies soignées.

Resterons-nous continuellement dans nos chagrins ?

Garderons-nous aussi dans nos cœurs et nos pensées le poids de nos erreurs ?

Si l’on considère toutes les fois où Le Messie a guéri, Il pardonnait le pécheur et le libérait de la culpabilité de sa faute. (Cf. Luc 5.20 et Luc 7.48)

Lui avons-nous confessé notre faute ?

Lui avons-nous laissé le soin de nous libéré de ce poids ?

Sommes-nous convaincus qu’Il nous a pardonné ?

Une fois que notre faute a été confessée, pardonnée, expiée, ne laissons plus à l’ennemi aucune place pour dans notre cœur et notre esprit.

Ayons le courage et la force de lui dire :

« Le Messie M’a déjà pardonné et libéré, Il a payé le prix de Ma faute, Je suis guéri. »