On ne peut se confier en une personne si on ne la connait pas. De même, on ne peut faire appel à une personne sans connaitre ne serait-ce que son prénom. Mais certains en Guadeloupe arrive malgré tout quand il s’agit de la gent féminine à utiliser par exemple de toutes sortes de mots qui ne plaise pas toujours pour attirer leur attention.

Aujourd’hui, pour appeler une personne, un numéro de téléphone mobile suffit. C’est donc ainsi que l’on peut prendre contact avec une personne même sans spécialement la connaître.

Pour chercher à connaître quelqu’un, il est nécessaire de passer du temps avec elle afin de savoir ce qui plait ou pas à cette personne. Ainsi, les jeunes couples, passent du temps ensemble, partagent des moments de joie, de rigolade et parfois aussi de tristesse.

Quel est le nom de Dieu ?

Quand nous l’appelons, comment l’appelons-nous ?

Certains sont assez stricts dans l’appellation qu’Il donne au Créateur. La communauté juive va même jusqu’à ne pas prononcer Son nom par respect pour Lui. Pourtant, ces mêmes juifs, pour rendre prononçable le tétragramme YHWH ont rajouté des voyelles pour le faire devenir JÉHOVAH. 

Mais dans les écritures, de nombreux noms, apparaissent au fil des récits bibliques, quand l’homme s’adresse à Dieu ou parle de Dieu. On retrouve ainsi Élohim pour parler du Dieu fort et puissant, Adonaï pour dire Seigneur, El Shaddaï pour parler du Dieu de la montagne.

On pourrait encore continuer la liste des appellations de Dieu, mais le plus fréquemment utilisé est YAHWEH qui veut dire JE SUIS CELUI QUI SUIS. C’est d’ailleurs cette appellation que Le Seigneur donna à Moïse pour le désigner. (Cf. Exode 3.14)

 Mais à la venue du Messie, s’adressant à nous, nous indique comment faire appel à Dieu dans la prière. En Matthieu 6.9 Il commence ainsi : 

Notre Père qui es aux cieux, ton nom soit sanctifié ; ton règne vienne.

Ce passage a attiré mon attention d’une part sur le respect du nom qui est sanctifié et d’autre part sur l’orthographe quand Jésus dit que Dieu est aux cieux. Si certaines traductions mettent l’auxiliaire au pluriel, écrivant, Notre Père, qui êtes aux Cieux, je retiens par contre toujours cette marque de respect et la proximité qui est adressé à Dieu par Le Messie avec Le Père.

Qu’en est-il de nous ?

Quelle est la proximité que nous avons avec Lui ?

Pouvons-nous réellement l’appeler Père ?

Nous l’avons vu et le texte de Psaumes 9.11 indique la nécessité de Le connaitre et de le rechercher. Il est dit :

En toi se confient tous ceux qui connaissent ton nom ;
car tu ne délaisses pas ceux qui te cherchent, Yahweh.

Cherchons donc à Le connaître.

Comme un enfant, qui reconnait Son père, apprenons à nous confier en Lui, Il ne nous abandonnera pas.

Psaumes 9.11