Il est commun dans notre société que l’on se moque des plus faibles, de ceux qui sont différent de nous et qui n’ont pas les moyens de se défendre.

Dès les cours de récréations, c’est un jeu bien souvent pratiqué par les jeunes élèves sans penser aux conséquences de ces moquerie sur l’autre.

Pour ce qui est de la tromperie, il n’en n’est pas moins. C’est le sport favori de nombreuses personne, surtout de nos politiciens.

Combien d’entre nous avons été dupé par des promesses électorales jamais tenues ?

Qu’en est-il de notre relation vis à vis de notre Dieu ?

N’avons-nous pas tendance à certains moments de Lui faire des promesses que nous ne tenons pas ?

Par moment je m’interroge et me dis : « Ne profites-Tu pas de l’Amour de Dieu ? »

Le trompons-nous ou, pensons-nous le tromper ?

Dans le livre de Galates 6, Paul nous dit : « On ne se moque pas de Dieu, ce que l’on sème, on le récolte ».

On peut facilement tromper l’homme par la ruse, la fourberie et l’exces de confiance, mais on ne peut et ne pourra jamais tromper Dieu.

Dans ce texte de 1 Samuel 16.7 il est écrit : « l’homme regarde à ce qui saute aux yeux, mais l’Eternel regarde au coeur ».

Qui trompons-nous donc, Lui ou nous ?

Sachant qu’Il lit dans nos coeur et nos pensées, il nous est impossible de Le tromper.

Faisons donc en sorte d’avoir un coeur, une âme pure, dépourvu de tromperie, mais ayant une réelle crainte des conséquences de nos actions.