Sur notre territoire Guadeloupéen, nous avons ce privilège d’avoir de belles chutes d’eau. J’envie même par moment une de mes connaissances que je considère comme un frère, qui régulièrement se balade en forêt et qui régulièrement publie sur ses réseaux et profils, les photos qu’il prend de ces paysages.

Toujours une nouvelle cascade de découvert. Toujours des paysages et des lieux insolites de découvert. La seule raison pour laquelle je ne l’accompagne pas, c’est le rythme soutenu de ces marches, alors que pour moi, il s’agit de prendre le temps de découvrir et d’apprécier la nature.

Je me réjouis toutefois de ces photos de chutes, de criques ou de bassins en mer ou en foret. 

Il est vrai, qu’après avoir passé ce temps à marcher pour y arriver, la pause rafraichissement est nécessaire, incontournable.

Je pense, qu’au-delà du temps passé à marcher, à entretenir les muscles du corps, le rafraichissement qui s’ensuit est à mon sens bien plus agréable. Certains diront, que c’est normal, puisque tu n’aimes pas le sport.

À ceux-là, je dirai ce qu’a écrit l’apôtre Paul à Timothée qu’il considérait comme son fils :

Je ne puis me permettre de le dire, d’autant plus que je sais tout le bien que le sport et l’exercice physique procure à l’être humain.

Ce ne sont point les propos de l’apôtre, par contre, il insiste sur l’importance de la piété pour l’homme, qu’il considère utile à tout, dans la vie présente comme dans celle à venir. 

Les commentaires bibliques la définie comme étant de la révérence et du respect envers Dieu.

J’ai hier encore été réveillé avec cette chanson ayant les paroles suivantes :

Que Tes vives eaux inondent mon âme

Que Ton Saint-Esprit vienne et prenne le contrôle

Que chaque situation qui trouble mes pensées

Mes soucis, mes fardeaux à tes pieds, je dépose

Cette chanson laisse entendre que les fleuves d’eau, le rafraichissement de notre âme, ne peuvent venir que du Saint-Esprit de Dieu.

Remarquez, qu’il est indiqué que les fardeaux, les soucis, les situations qui occupent nos pensées, se doivent d’être déposées aux pieds de Jésus.

Ainsi, de la même manière que l’activité du corps, ce qui est charnel, est vue par l’apôtre comme étant peu de chose, et que la pratique de la piété comme étant nécessaire, ici également il nous est montré, par ces paroles, l’importance que doit représenter pour nous l’Esprit de Dieu.

Il nous faut impérativement passer par cette étape de croyance en Jésus, pour que nous puissions bénéficier des fleuves d’eau vive.

L’Évangile de Jean nous dit ceci, pour éclaircir notre compréhension :

Si la plupart des traductions bibliques parlent de fleuves qui sortiront du ventre, des entrailles, du sein, la version Grande Bible de Tours a retenu mon attention et correspond à ma vision du texte. Cette version parle de fleuve qui coulent dans le cœur.

Regardons et prêtons attention à ce que nous donne comme recommandation l’apôtre Paul. Il nous dit :

Tant que les fleuves ne se répandront pas en nous, nous ne pourrons être des lumières qui éclairent les chemins des âmes perdues.