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Tout vient de Toi

Mon bonheur

On a pour habitude de soit envier ceux qui sont toujours dans la joie, à s’amuser, à boire et manger, soit les condamner pour ne penser qu’à la fête et au divertissement.

Y a-t-il un mal à se divertir, s’amuser ?

Peut-on être heureux tout en travaillant ?

On a, peut-être, trop souvent lié travail, labeur à contrainte et non pas plaisir, épanouissement, joie et bonheur. Généralement, aller travailler sans y trouver de plaisir, revient à être en situation de mal-être et entraine des frustrations sur le lieu de travail qui se répercute sur la vie de famille.

J’ai connu cette période où aller travailler se révélait être, comme le dit l’expression, un calvaire. On traine les pieds et cela a généré en moi stress, mécontentement et amertume.

Et dans ces moments-là, même notre relation avec Dieu s’en trouve affectée.

Tout échange pendant cette période est source de conflit. On ne supporte plus personne, ni conjoint, ni enfants et on en vient à ne voir autour de soi que du noir.

Peut-on être heureux ?

Comment vivre dans le bonheur ?

J’ai appris que même dans la souffrance, quand nous sommes touchés par le deuil de près ou de loin, nous pouvons être heureux. Et c’est la volonté de Dieu que nous puissions dans toutes les facettes de notre vie que nous oyions heureux.

L’ecclésiaste dans son livre parle du bonheur de l’homme et dit ceci :

N’est-ce donc pas un bien pour l’homme de manger, et de boire, et de faire que son âme jouisse du bien dans son travail ? J’ai vu aussi que cela vient de la main de Dieu. Ecclésiaste 2.24

En pensant lecture de ce texte, je me dois de reconsidérer au moins deux choses, le divertissement et le travail.

J’en déduis, d’ailleurs, que le divertissement est un équilibre nécessaire à l’homme qui travaille. Il convient donc d’équilibrer vie professionnelle et vie privée dans notre quotidien.

L’essentiel, est précisé dans ce passage des écritures, notre âme doit se réjouir.

Je reviens à la citation d’un curé qui disait, que ce qui compte pour Dieu, c’est que l’homme soit heureux. Je repense alors à toutes ces personnes qui prennent plaisir à faire souffrir, à détruire, à éliminer de la Terre les être humains. Je ne peux m’empêcher de ressentir toute la tristesse du Créateur quand Il assiste, à ces tueries et destructions.

Veillons de ce fait à ne pas attrister les créatures de Dieu, mais faisons en sorte plutôt de nous réjouir avec les êtres humains, procurons autours de nous, la paix et la joie d’être des créatures de Dieu dont les âmes se réjouissent de leurs existences.

Vivons donc pour être heureux et pour rendre heureux. Ainsi, nous n’attristerons pas notre Dieu.

Le bonheur en conséquence vient de Lui et est pour chacun de nous afin qu’en nous, Il trouve Son plaisir.

Ecclésiaste 2.24