Tu délivres Ton peuple
Délivrer une personne revient à sortir cette personne de la captivité pour la rendre libre et indépendante.
De qui sommes-nous prisonniers ?
Il y a de cela un an, un chef d’État disait des paroles qui ont glacé et laissé dubitatif beaucoup d’entre nous.
Il disait donc au début de la pandémie ceci :
La Bête de l’événement est là et elle arrive.
C’est propos tenus lors d’un entretien avec un journal lié à la finance, pousse quand même à la réflexion.
Qu’a-t-il voulu dire ?
De quelle bête parle-t-il ?
Pour ceux qui connaissent les écritures, on parle de Bête dans le livre de l’Apocalypse ou encore appelées Révélations de Jean au chapitre 13.
Est-ce volontaire ou de simples mots prononcés ?
Nous ne nous prononcerons pas sur le sens de ces paroles, mais on peut noter que cette Bête au verset 16 et 17, faisait en sorte que tous reçoivent une marque et que personne ne puisse acheter ni vendre sans cette marque.
Une chose cependant est sûre, c’est que dans l’Apocalypse à la fin, la Bête est vaincue et le peuple, les enfants de Dieu sont délivrés de toutes les contraintes qu’elle leur imposait.
La Bête dont il est question est celui ou celle qui se positionne contre le Messie, l’Oint de l’Éternel.
Dans le livre du prophète Habacuc, ce dernier confirme la révélation du livre d’Apocalypse bien des années avant.
Il dit ceci dans la version hébraïque :
Tu sors pour la délivrance de ton peuple, pour la délivrance de ton Messie. Tu transperces le chef afin qu’il n’y en ait plus dans la maison du méchant, tu en découvres le fondement jusqu’au fond. Habacuc 3.13
Ce texte fait apparaître encore une fois, une bataille entre l’Oint de l’Éternel (Le Messie) et le chef des méchants (l’ennemi).
Que retenir pour nous dans cette guerre ?
S’il est vrai que l’Apocalypse a toujours effrayé, notre situation en Guadeloupe depuis quelques jours en effraie plus d’un, ce texte du livre d’Habacuc 3, nous redonne espoir en une délivrance certaine.
L’Éternel par Son Messie, découvrira les volontés des méchants ainsi que de leur chef et les anéantiront.
Ne baissons pas les bras. Redoublons de courage. Notre rédempteur est vivant, Il nous délivrera des mains des méchants et nous rendra libre de notre captivité.
Habacuc 3.13