Nous avons déjà à plusieurs reprises évoqué que c’est Dieu qui réalise des merveilles dans nos vies et que c’est selon Sa volonté que les choses se font.

Il y a de cela deux jours en regardant l’émission de Chiquanos sur Canal 10, (Télévision locale en Guadeloupe), se déroulait en direct sur le plateau une session de prière et d’intercession à l’Esprit de Dieu.

J’ai pu voir comment ces personnes plus ou moins jeunes pouvaient mettre toute leur foi et leur confiance en La Puissance de Dieu et de Son Esprit.

Il n’est pas évident pour un non pratiquant de comprendre ce qui se déroulait en direct, mais ceux qui connaissent, savent que le secours ne peut venir pour le rétablissement de la situation en Guadeloupe, que de Dieu.

Le texte de 2 Corinthiens 4.7 nous donne un éclairage sur ce qu’est la puissance de Dieu en l’homme. Il dit ceci :

Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous.

Portons une attention rapide à cette image et ce symbole du vase d’argile.

1. Il est fragile et peut se casser.
2. Les fleurs simplement placées dans le vase ne peuvent durer et s’épanouir sans un apport d’eau dans le vase.

L’histoire de Gédéon et l’Armée de l’Éternel, nous donne une base de connaissance suffisante pour que nous puissions comprendre ce qu’il adviendra pour notre pays. Dans le livre de Juges 7 est relaté une bataille de 300 hommes contre l’armée de Madian. Les seules armes que portaient ces 300 hommes furent des cruches, des flambeaux et des trompettes.

Il est dit que l’attaque menée par ces hommes consistait à briser les vases, prendre  d’une main le flambeau et de l’autre la trompette.

Qui donc a mené ce combat ?

Il est dit en Juges 7.22 :

L’Éternel fit que dans tout le camp de Madian chacun tourna son épée contre son frère.

Le combat qui est mené dans ce monde, dans notre Guadeloupe, malgré les forces militaires déployées, malgré les campements des hommes sur le terrain, ne pourront donner une avancée au peuple si ce n’est que Dieu et Son Esprit ne crée la confusion sur les adversaires.

Mais pour se faire, combien d’entre nous sommes prêts à briser nos cruches, saisir notre flambeau et sonner de la trompette pour donner à Dieu le signal.

Sans arme, mais avec l’Éternel et Sa puissance.

En écrivant ces mots me viennent ces paroles chantées par les manifestants en créole : « Yo awmé nou pas awmé » pour la traduction, « ils ont des armes, nous n’en avons pas ».

Que retenir pour nous dans ce récit ?

La symbolique de ce passage des écritures et du récit de cette bataille est assez intéressant. Si nous devions en tirer un enseignement il se résumerait en ces quelques étapes et actions :

1. Briser nos cruches. Ne pas compter sur notre corps notre propre force en allant combattre.
2. Saisir le flambeau. Faire appel à l’Esprit Saint, laisser par celui qui est La Lumière qui nous éclaire
3. Crier à l’Éternel. C’est Son épée qui nous délivrera.

Ces personnes sur le plateau télé nous ont donné déjà la marche à suivre.

Remettons-nous totalement à Dieu pour que Son armée rentre en action afin qu’Il crée la confusion dans le camp des oppresseurs du peuple de l’Éternel.